Tout commence avec la préproduction vidéo
La première vidéo que j’ai réalisée était de loin la plus dure.
J’étais conscient que les autres allaient la regarder (et probablement l’examiner avec minutie) et je n’avais aucune idée de ce que je faisais.
J’avais quand même réalisé quelques recherches, mais pas de là à avoir une idée claire des différentes étapes ou même d’anticiper les problèmes qui se trouveraient sur mon chemin.
Mais la bonne nouvelle, c’est que ça y est ! J’ai fait des erreurs. Et j’ai retenu précisément les points indispensables pour vous aider à créer votre première vidéo.
Le guide ci-dessous vous offre un excellent départ dans l’univers de la production vidéo.
Ce que vous allez découvrir:
- Se lancer, trouver un projet, et commencer la production de sa vidéo
- Objectifs d’apprentissage vs résultats: réduire le champ
- Décider de la fin avant le début de la production de votre vidéo
- Faire un plan de production avant de démarrer la caméra
- Rassembler tout ce dont vous avez besoin
Se lancer, trouver un projet, et commencer la production de sa vidéo
Avant de passer à quelques idées qui vous aideront à créer une vidéo, il y a un sujet que j’aimerais mettre sur le tapis.
Vous allez travailler dur pour ce premier projet vidéo et vous allez adorer le faire. Il y a en effet de grandes chances pour que vous vous investissiez pleinement afin d’offrir un produit à votre public dont vous êtes satisfait·e.
Et ce sera génial.
Jusqu’à ce que vous reveniez à cette première vidéo, quelques créations et mises en ligne plus tard, lorsque vos compétences seront déjà bien améliorées.
Vous vous rendrez alors vite compte du chemin parcouru.
Les premières vidéos sont toujours difficiles. Mais il est tout à fait normal d’apprendre et de créer quelque chose qui n’est pas parfait.
Et, chose plus importante encore : il y a une première fois à tout.
Une fois votre première vidéo terminée, vous pouvez passer à la deuxième et faire encore mieux.
Même si vous n’avez pas forcément envie de créer un chef-d’œuvre, vous pouvez faire de votre vidéo un succès en suivant certaines étapes.
La première étape d’une production vidéo, c’est de commencer. Et pour vous améliorer, il n’y a rien de mieux que de continuer.
Objectifs d’apprentissage vs résultats : réduire le champ
J’ai assisté, il y a peu, à un atelier-conférence avec Shannon Tipton de Learning Rebels. Elle a dit quelque chose qui m’a marqué :
Mettez de côté l’objectif d’apprentissage et focalisez-vous sur ce que vous voulez que l’apprenant fasse vraiment.
C’est essentiel pour créer une bonne vidéo.
Il s’agit en fait de se concentrer sur le résultat final. Au bout du compte, vous devriez pouvoir dire si oui ou non l’objectif visé a été accompli.
Quand vous réfléchissez à ce que vous voulez que votre apprenant fasse, tenez-vous-en à une idée, un sujet, ou un point d’attention.
Le fait de réduire votre champ vous permettra de créer une vidéo plus facilement, et celle-ci sera plus précise. Les apprenants en bénéficieront aussi. Ils recevront des instructions plus claires, avec un résultat plus réalisable.
Décider de la fin avant le début de la production de votre vidéo
Si vous avez suivi le conseil ci-dessus, vous savez ce que vous essayez accomplir. Parfait !
Le fait de connaître la fin avant le commencement vous permet de comprendre des informations essentielles à introduire dans votre planning de préproduction vidéo.
Où la vidéo sera-t-elle diffusée ?
Il est important de connaître la destination finale de votre vidéo, car cela vous aidera à prendre de nombreuses autres décisions. Et il est dans votre intérêt de déterminer ces choix avant de commencer la production de votre vidéo.
La vidéo apparaîtra-t-elle sur une chaîne publique ?
Si vous souhaitez partager votre vidéo en public, réfléchissez à la façon dont les gens vont la trouver.
Il peut être utile d’ajouter des éléments — logo, couleur, etc. — qui permettront d’identifier votre produit ou votre entreprise. Ainsi, les utilisateurs savent dès le premier coup d’œil que la vidéo est associée à votre marque.
Et si c’était facile de faire des vidéos ?
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La vidéo sera-t-elle accessible via un Learning Management System (LMS) ?
Si vous utilisez un LMS, vous aurez besoin de connaître les formats vidéo compatibles avec celui-ci. Y a-t-il d’autres contraintes, comme la taille de fichier acceptée ?
Et, une fois la vidéo sur le LMS, les utilisateurs pourront-ils la visionner ? Ont-ils des haut-parleurs ou des écouteurs pour avoir accès à l’audio ?
Pour le LMS, souhaitez-vous utiliser SCORM ou xAPI à des fins de suivi ?
Toutes les vidéos ne demandent pas le même niveau de suivi. Utiliser SCORM ou xAPI vous permet de mieux comprendre ce que vous avez envie de savoir et de quels éléments vous avez besoin.
Y réfléchir avant de préparer ou de filmer votre vidéo donnera plus d’anticipation à votre processus de création. Le but est d’éviter d’ajouter des éléments dans votre vidéo à la dernière minute.
Quelle taille de vidéo conviendra parfaitement à sa destination ?
Quelle résolution utiliser pour votre vidéo ? La taille est un élément essentiel de la production audiovisuelle, et l’idéal est de faire le montage de votre vidéo à la taille à laquelle vous voulez la produire.
Par exemple, si votre vidéo doit avoir une résolution de 1280 x 720, vous devrez faire le montage de votre vidéo avec une résolution de 1280 x 720.
L’enregistrement offre plus de souplesse, mais doit rester proportionnel : plus volumineux ou de la même taille que votre produit final.
Ainsi, si vous souhaitez obtenir une vidéo avec une résolution de 1280 x 720, vous pouvez faire un enregistrement avec une résolution de 1280 x 720, ou encore de 1920 x 1080. Ces deux tailles ont un rapport ou ratio d’aspect (le rapport entre la largeur et la hauteur d’une image ou d’un écran par exemple) de 16:9.
Y a-t-il des besoins en matière d’accessibilité parmi votre audience ?
Dans votre public, y a-t-il des personnes sourdes ou malentendantes qui ont besoin de sous-titres pour accéder au contenu ? Un script vous servira de sous-titrage mais, si vous n’en avez pas, vous pourrez aussi (faire) transcrire votre vidéo.
Cela sera utile pour les spectateurs qui dépendent des fonctionnalités d’accessibilité, comme pour ceux qui n’ont pas la possibilité d’activer l’audio — parce qu’ils sont dans un lieu public et n’ont pas d’écouteurs par exemple.
De plus, si vous publiez votre vidéo sur un site comme YouTube, celle-ci pourra être trouvée plus facilement grâce aux sous-titres.
En savoir plus sur l’ajout de sous-titres dans vos vidéos.
La vidéo fait-elle partie d’une série ?
Si c’est le cas, souhaitez-vous renvoyer le spectateur vers une autre vidéo ou un autre contenu ?
Sur certains sites et lecteurs vidéo, vous pouvez insérer un lien directement dans la vidéo. Cela permet à vos utilisateurs d’accéder facilement à du contenu similaire. Et, s’ils sont pressés, de trouver la prochaine vidéo de la série en un clin d’œil.
Faire un plan de production avant de démarrer la caméra
Avant de démarrer la production vidéo, il y a plusieurs choses à prendre en considération.
Le script
Il y a un script derrière toute vidéo professionnelle, et vous en aurez besoin aussi !
J’ai réalisé de nombreuses vidéos sans script et, à chaque fois, j’oubliais quelque chose ou je butais sur une phrase, ce qui m’obligeait à refilmer une partie de la vidéo.
Rédiger un script est indispensable pour vous aider à produire une vidéo de qualité.
Le script a un énorme impact sur la vidéo qui va être créée. Le rédiger prend du temps, mais peut vous en faire gagner au moment de produire votre vidéo.
Avec un script, vous êtes sûr·e de couvrir l’ensemble du sujet de manière concise et efficace.
Quand vous travaillez sur votre script, essayez de supprimer tout contenu non nécessaire. N’ayez aucun regret !
Et si c’était facile de faire des vidéos ?
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Pour chaque phrase et pour chaque mot rédigé, posez-vous la question : est-ce que ça m’aide à accomplir mon objectif ? Si ce n’est pas le cas, supprimez le superflu. Inutile de trop réfléchir.
Vous pouvez essayer de lire le script à haute voix ou demander à quelqu’un de le faire pour vous. Certaines choses sonneront faux et il n’y aura plus de place pour le doute. La dernière chose dont vous avez envie, c’est de devoir prononcer une phrase du genre : « Les chaussettes de l’archiduchesse sont-elles sèches, archisèches ? » (À dire 5 fois, et plus vite que ça !).
Si vous enregistrez une réunion, un cours magistral ou une interview par exemple, écrire un script n’est pas nécessaire. Cependant, même dans ces cas-là, vous pourriez avoir besoin de préparer un plan solide, des questions à poser ou une check-list pour vous assurer que tous les points importants seront traités.
Le storyboard
En préproduction vidéo, si le script définit ce qu’il faut dire, le storyboard s’occupe de ce qu’il faut montrer.
Les storyboards sont un excellent moyen de gagner du temps, mais aussi de vous aider à réfléchir à chaque visuel qui composera la vidéo.
En réfléchissant à ces visuels et en les dessinant rapidement sur papier — bonhommes allumettes acceptés —, vous êtes en fait en train d’établir une liste de plans vidéo, que vous créerez ensuite.
Munissez-vous d’un stylo et d’une feuille en papier, et commencez à gribouiller.
Pensez à la première chose que vous souhaitez montrer. Est-ce qu’il s’agit d’une diapositive ou d’une animation de titre ? Ou d’un plan général, comme un lieu ou le bureau de votre ordinateur ? Faites un croquis approximatif de cela.
Puis, continuez à lire votre script. Qu’est-ce qui devrait apparaître maintenant ? Si c’est au tour d’une personne de parler : est-ce que vous voulez la filmer de près, de loin, ou entre les deux ? À votre stylo.
Si vous ne savez pas quoi dessiner, aucun souci ! Écrivez une courte phrase, par exemple « Plan rapproché, Matt se tourne pour faire face à Sara. »
À garder à l’esprit qu’il est aussi utile de noter, soit sur le script, soit sur le storyboard, comment ces deux éléments se rejoignent.
Le temps est précieux et peut même valoir de l’or, surtout quand on filme avec une caméra. Vous n’avez pas envie de vous retrouver derrière l’objectif et de devoir réfléchir à tout cela.
Faites votre storyboard et suivez-le. Si, lors de la production de la vidéo, vous changez d’avis, il sera toujours plus facile d’ajuster.
Et si c’était facile de faire des vidéos ?
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Voici deux autres éléments essentiels à retenir sur les storyboards :
- Si vous avez besoin de la validation d’une ou de plusieurs parties prenantes, le storyboard pourra vous aider à les obtenir en avance. En effet, ces personnes pourront voir ce que vous avez prévu et faire des suggestions avant le tournage.
- Comme un template, votre storyboard sera d’une grande aide lors du montage. Il est le reflet de la vidéo que vous voulez produire. Quand vous avez créé toutes les pièces du storyboard, vous pouvez réaliser la vidéo finale plus facilement et plus rapidement.
Sur le site de TechSmith, vous pouvez télécharger des modèles de storyboard, par exemple une grille 3×3 ou une grille 3×2.
Même si vous êtes sensible à la critique, quand vous avez tant investi dans une vidéo, il peut être très utile de recevoir un avis.
Que ce soit pour le script ou le storyboard, il est recommandé de demander à une à trois personnes de passer en revue votre travail.
Celles-ci doivent se poser les questions suivantes :
- Le message est-il clair ?
- Le spectateur a-t-il toutes les clés en main pour passer à l’action ?
- Y a-t-il des informations ou un manque d’information qui pourraient rendre confus un novice ?
- Et s’il y a quelques tentatives d’humour : est-ce que ça marche ?
Demandez à ces personnes un avis honnête et constructif. Même si cela peut vous vexer, c’est vraiment la seule façon de s’améliorer en production vidéo.
Organiser un brainstorming (facultatif)
Une bonne idée peut aussi être de rassembler un petit groupe autour d’une table et de leur lire votre script. Ces personnes pourront écouter et prendre des notes.
Ils vous donneront ensuite leur avis, point par point. Attention, votre objectif n’est pas de défendre votre travail, mais d’écouter et de comprendre comment vous pouvez l’améliorer et obtenir la meilleure vidéo finale.
Si l’un de vos collègues ou toute autre personne dans votre entreprise s’y connaît en production vidéo : demandez-lui son avis aussi ! Grâce à son expérience, il ou elle pourra vous aider à éviter certains pièges et surmonter des défis déjà rencontrés de son côté.
Quand je créais des vidéos pour le service d’hébergement en ligne Screencast.com de TechSmith, j’avais demandé à Anton, un membre de notre équipe, de me donner son avis. Son feed-back était très pertinent et détaillé, jusqu’à me signaler un décalage d’une demi-seconde.
La critique n’est pas toujours facile à accepter, soit parce qu’on pense avoir raison, soit parce qu’on est satisfait·e de sa vidéo. Mais un feed-back mène toujours à un produit final au rendu plus professionnel. Et nous aide, tout simplement, à devenir meilleur en production vidéo.
Rassembler tout ce dont vous avez besoin
Au moment de rédiger le script et de faire le storyboard, pensez à noter tout ce dont vous avez besoin : informations, matériel et autres indispensables pour bien organiser le tournage.
Faites cela dans l’ordre qui vous paraît le plus logique : l’important est que cette liste soit prête avant de commencer la production de la vidéo. Vous gagnerez du temps, minimiserez vos efforts, et réduirez votre niveau de stress.
L’équipement
Il faut bien évidemment rassembler le matériel nécessaire avant le tournage, mais pas juste avant le tournage ! Faites un tour d’horizon de votre équipement un ou deux jours avant — au moins — afin de vous assurer de tout avoir.
Les choses à ne pas oublier : batteries de rechange, câbles, trépieds, accessoires de support, et tout équipement dont vous avez besoin. L’idéal est même de tester votre installation afin de vérifier que tout fonctionne et que tout se passera bien le jour J.
Si vous enregistrez des commentaires vocaux, vérifiez que votre matériel audio — microphone, support de microphone, et tout autre élément nécessaire — est prêt et qu’il marche correctement.
Si vous enregistrez votre écran, vous aurez tout simplement besoin d’un logiciel d’enregistrement d’écran de haute qualité et d’un bon microphone.
Les couleurs
Assurez-vous de connaître les couleurs acceptées par votre entreprise ou d’utiliser celles qui constituent l’identité visuelle de votre marque. Si possible, ayez les codes couleur RVB, CMJN ou HEX à disposition. Cela facilitera l’étape de la postproduction vidéo et vous évitera de faire une erreur qu’il faudra rectifier par la suite.
Les logos et les images
Si vous souhaitez utiliser des illustrations dans votre vidéo, rassemblez-les dans un dossier sur votre ordinateur. Ainsi, quand vous êtes prêt·e à passer au montage, vous les trouverez tout de suite.
Vous pouvez aussi vérifier que toutes les illustrations fonctionnent bien ensemble, et faire des modifications au besoin. Ce dossier peut inclure : bandeaux de titre, animations de titre, logo de la marque, captures d’écran, etc.
Par ici si vous souhaitez savoir comment redimensionner correctement une image.
Le lieu
Vous ne pouvez pas rassembler un lieu, certes, mais vous pouvez le préparer — ou vous assurer que tout est prêt pour la production de la vidéo.
Si vous filmez sur un lieu autre que celui de votre travail, vérifiez que vous en avez l’autorisation.
Ensuite, une bonne idée est de se rendre sur le lieu du tournage à la même heure — à peu près — que celle prévue le jour J. Ainsi, vous pourrez faire une inspection et vous assurer que tout répond à vos besoins.
Par exemple :
- Y a-t-il des obstacles visuels ?
- Y a-t-il des bruits gênants, une ventilation par exemple ?
- Ou tout facteur qui pourrait rendre l’éclairage difficile, trop de fenêtres ou pas assez de lumière par exemple ?
Allez-y avec votre storyboard, au minimum, pour voir si le lieu correspond à votre planning. Faites des modifications si nécessaire.
Un jour, lors d’un projet vidéo, nous avions décidé de filmer sur le campus d’une grande université. Le cadre, près d’une rivière, était idyllique. Nous tournions à 6 h du matin et pensions avoir pensé à tout.
À tout, sauf aux nuées de moustiques qui venaient attaquer l’équipe à intervalles réguliers.
Et filmer une vidéo en se battant contre des insectes volants n’est pas de tout repos.
Un repérage rapide des lieux nous aurait mis la puce à l’oreille, et nous aurions pu nous munir de vêtements adaptés et de produit anti-moustique.
Le ou les intervenants
Si vous voulez faire apparaître une ou plusieurs personnes dans votre vidéo, il faut prendre en compte leur profil. S’agit-il d’un expert ? D’un collègue qui joue un rôle ? D’un acteur professionnel (ou amateur) ? Ou est-ce que vous filmez dans vos bureaux ?
Dans tous les cas, si vous demandez à une personne de figurer sur votre vidéo, vous devez la préparer. Expliquez-lui le concept de la vidéo et montrez-lui le script.
L’intervenant doit connaître son rôle et ce que vous attendez de lui ou d’elle face à la caméra — par exemple, y a-t-il un texte à mémoriser ?
Vous pouvez aussi le ou la briefer sur ses vêtements, sa coiffure ou encore son maquillage pour le tournage de la vidéo.
De plus, il est possible que vous ayez besoin de lui faire signer un accord de diffusion qui vous autorise à utiliser son image dans la vidéo.
Bon à savoir : dans certaines entreprises, les employés donnent leur accord pour apparaître sur des photos et des vidéos dès qu’ils rejoignent l’équipe. Mais cela ne coûte rien de vérifier.
Les commentaires vocaux
Les mêmes consignes s’appliquent pour tout enregistrement de commentaires vocaux. Donnez à votre intervenant des instructions claires concernant le rythme, le style ou l’écriture du script. De plus, assurez-vous que le lieu d’enregistrement n’est pas bruyant et qu’il offre la meilleure qualité de son possible.
Et si c’était facile de faire des vidéos ?
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En conclusion
Comme vous avez pu le constater, il y a nombreuses choses auxquelles il faut penser en préproduction vidéo. Cette liste ne doit toutefois pas vous dissuader de vous lancer !
En fait, l’objectif est que vous fassiez votre première vidéo sans stresser, et même sans penser à tout ce dont nous avons parlé.
Faites-la, tout simplement.
Puis, avant de commencer la deuxième, piochez une ou deux idées dans cet article. Mettez-les en pratique, soyez davantage préparé, et créez une meilleure vidéo.
Pour la troisième, repérez une autre idée et ajoutez-la au processus de préproduction vidéo. Et ainsi de suite, jusqu’à ce que vos vidéos deviennent de mieux en mieux. Cela prendra du temps, demandera des efforts et de la répétition, mais produire une vidéo efficace et au rendu professionnel est à votre portée.
Ne vous laissez pas décourager par le nombre d’éléments à prendre en compte : mettre en pratique certaines de ces idées rendra l’aventure plus facile, plus rapide et moins coûteuse.
C’est donc le moment de se lancer et de créer votre première vidéo, et une de qualité, j’en suis sûr !
